Les récits



 


Belle aventurière masquée adorant plumes, dentelles et lumières tamisées, recherche jeune amant puissant et câlin, doux et passionné, fin et fou, pour soirée dégustation «aux plaisirs gourmands»…

 

Au menu «découverte» elle affiche un beau partage de plaisirs musqués… voir musclés,
échanges de sucs et fluides variés,
effeuillage et découpage de dentelles subtiles avec les dents seulement,
séduction à tous les étages,
torsion des corps en arobases compliqués et torrides…

Acrobaties des positions «Kamasu-triques» et anecdotiques…
Les yeux bandés, bien sûr,
initiations aux nouvelles mises en bouche,
Sucrés-salés habiles, palais raffinés, la gourmandises sera de mise.

Fruits rouges et fermes, bulles gonflées de sucs éclatants sous la dent,
Tes 5 sens sont cordialement invités… à toutes les festivités…

La lumière sera douce ou ne sera pas....
Nous tâterons les formes, devinerons les couleurs, les tensions, les ardeurs….
Sous la soie ou les dentelles acoquinées….

Quand viendra l’heure du Jugement Dernier, aucun regret ne sera prononcé…
Nous vivons le présent sans penser à demain.
L’amour est un aphrodisiaque puissant à la grisaille du quotidien.

Aujourd’hui plus qu’hier et moins que demain…




Ecrit par : Mademoiselle Praline.


Hummm, Praline .... m'invitez vous ?




Lundi 13 octobre 1 13 /10 /Oct 08:52

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Il est le moment, d'évoluer, de me comprendre... Je te secoue les neurones, je te remue le cerveau et c'est un grand bien pour toi, même si ca te fait mal et te dérange. Cela ne te fera que aller de l'avant et progresser dans ta quète perso... ton épanouissement.
Grand bien te fasse!

Et maintenant il va falloir que je te révèle les corps et leurs possibilités, t'apprendre à connaître le mien, peut être même celui des femmes en général. Quelle prétention en effet ! Mais peu importe....

Il va te falloir apprendre sur la demande et les attentes d'une femme dite 'normale', sans fantasmes ni recherche particulière, qui est juste dans une attente d'un corps comblé...ou d'amour tout simplement.

Je vais te parler d'un échange réel lors des jeux de l'amour. Il est vrai qu'une femme peut prendre beaucoup de plaisir, notamment, moi, à faire une bonne fellation cela est même très excitant et fait couler la cyprine... Oui? Mais après ?

 

Parce qu'une femme dite 'normale', une comme moi par exemple, qui sait accéder à la jouissance en deux minutes chrono, si elle l'a décidé, une femme qui n'a pas de peine à jouir, donc une femme qui accepte totalement son plaisir et qui sait comment l'obtenir ne va pas se contenter de ce que tu lui offres. A la longue, elle se lassera. Elle attend autre chose qu'une simple pipe qu'elle te donne, une simple pénétration ou une excellente sodomie.


Il y a des jeux de l'amour qui sont très excitants et surtout très variés, exploitables à l'infini et je me demande, aujourd'hui, si tu les connais vraiment? Je me pose la question,oui...je me la pose!

Il y a donc les jeux de l'amour...


Mais quels sont ils?
Enumération complète :

Tout d'abord être capable, et surtout avoir l'envie d'embrasser. Le baiser,tout comme le trou du cul a été inventé par Dieu, ce n'est pas pour rien. Tu sais, un vrai baiser à pleine bouche, comme tu sais le faire de temps en temps. Avec la langue, oui! Avec la langue.Fait avec fougue et engouement et passion! Que c'est délicieux!

Puis le 'Bon Dieu' nous à donné aussi deux mains, qui normalement sont faites pour caresser. Caresser de partout, donner le frisson, sentir des doigts qui se prommenent, effleurer délicatement... Explorer l'intérieur d'une cuisse, la douceur d'une peau, frôler un dos, faire frissoner un téton, se délecter du bombé d'une fesse, faire monter l'envie d'une chatte mouillée et la toucher juste pour voir ce qu'il s'y passe... la faire couler un peu plus encore. S'y attarder, jouer avec un clito, entrer ses doigts dans une jolie fente voir même un deuxième.

Savoir de même faire abstration de son envie à être sucé pour s'occuper de l'autre, sans rien avoir en retour immédiat... Cela viendra après! Pas de soucis: une femme comblée de caresses n'oublie pas celui qui lui a donné tout ce qu'elle attend de lui.. Elle lui rendra au centuple et voir même plus.Donc... patience.Tu sera gâté.Ton tour viendra.

Pouvoir échanger les moments ou l'un s'occupe de l'autre ...et l'autre s'occupe de l'un , pour pouvoir les réunir et SE réunir par la suite.

Cela s'appelle la 'fusion' des corps. Réunification (comme dans Koh-lanta!) de deux excitations menées au plus au point dans la sphère du désir. Le partage complet marié à l'harmonie de tous les sens en émoi. C'est cela en fait :L'OSMOSE.

Oui, c'est cela la vraie osmose..

Puis... ah oui! Etre capable d'attendre: une bonne fellation ne doit pas aller forcémment à la jouissance et à l'éjaculation, on peut s'arrêter pour mieux reprendre, ne pas aller au bout tout de suite dans l'acte, sinon, on sait ce qui va se passer et ce n'est pas drôle! Ca veut dire: commencer... sucer... continuer, encore lécher... puis finir !!! Quel dommage! Pas de mystère... Pas d'imprévus. Pas de changement de direction: route tracée d'avance toute droite, sans virages aucuns! On paye direct à la caisse!!!

Tu sais que j'aime les femmes, donc, je suis capable de jouir juste avec une langue ou des doigts, tu as, me semble t il des doigts ?! Non? Les mêmes qu'une femme? Et une langue aussi? La même aussi! Je ne les ai jamais trop senti en fait... Désolée de te le dire ...

Si tu te 'frottes' aux femmes bi, il faut être capable de leur apporter ce qu"elles ont entre elles, c'est à dire caresses, jeux ect... Etre à la hauteur de ce genre de femmes là, qui sont en réalité d'une plus grande exigence que les hétéros pures et dures!

Tu as un avantage: un bon sexe bien dur, toujours en action et encore prêt quoi qu'il arrive et c'est un régal!

Avec une femme bi, ne montre pas d'avance tes qualités d'homme viril, laisse la en attente , car toutes les femmes bi, comme l'indique leur nom, aiment le sexe d'un homme, donc elles l'attendent, le désirent, le veulent forcément, obligatoirement... à la fin... pas au début...Elles peuvent aussi se passer de ce pieux que détient l'homme! Pour résumer, donc, avec toi, mon coté 'bi' est complètement occulté.

J'ai donc envie de voir, vraiment, ce que tu es capable de faire avec moi et avec mon corps. Parce que je suis trés curieuse... comme les filles! Je suis impatiente de voir ou tu es capable de m'emmener dans le plaisir et la jouissance extrème.

Savoir comment tu vas exploiter ce désir brûlant qui est en moi et que je veux t'offrir...

Bref, cela est facile en fait, il faut juste alterner les moments, les intants: fellations, cunni, baisers, pénétrations, aller, revenir, repartir, se promener quoi! Découvrir un corps, le faire attendre, lui donner, le faire vibrer, savoir recevoir, échanger réellement en faisant 1+ 1 puis 2 ensemble.

Tout cela ne saurait se résumer en un seul mot: TENDRESSE...
Mais pour que tu sois capable de la donner, de me la donner, encore  faut il que tu en aies pour toi même ...
Et laisser le côté féminin qui sommeille en toi se réveiller quelques fois ...

Et ne pas être par dessus tout et seulement: un MALE ...

 

                                                                                                                                      Titia

 



Mercredi 8 octobre 3 08 /10 /Oct 11:58

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J'ai revu ma douce et tendre Maelle ...

Un soir ou il fesait froid.

Dans un lieu qui inspire l'amour et la fusion des corps, une jolie maison cachée au milieu des bois, dans la nature.

Dans sa maison...

Les couleurs d'automne sont un régal pour les yeux. Le feuillage des arbres se balance avec la brise.

Je sonne à la porte à 20 h précises comme prévu. Lorsqu'elle s'ouvre, je découvre avec émerveillement que ma douce Promise m'attend dans une tenue on ne peux plus... transparente.

Mon regard se pose sur ses longues jambes habillées de bas résilles et ses hauts talons aiguilles noirs.

Ses cheveux brillent sous la lumière de l'entrée et le souffle qui passe par la porte me renvoie les senteurs de son parfum aux notes fleuries.

Le feu crépite dans la cheminée, la table est dréssée et les couleurs de la piéce n'inspirent que sensualité , délicatesse et harmonie des sens déjà en éveil.

Un canapé de couleur pourpre, réhaussé d'or nous attend et devant nous, une bouteille de champagne rouge et noire flotte délicatement dans un sceau de cristal. L'insolence de belles roses blanches nous toise du regard.

Mozart nous caresse les oreilles...

Une douce odeur d'un repas prometteur nous chatouille les narines...

Un long baiser nous réunit, nos langues se retrouvent et nos salives se mèlent enfin. Nous avions hate de nous revoir.

Notre première rencontre avait tellement été exitante, que nous ne pensions qu'à une autre fois. Ce jour est là, ce moment est présent et nous entendons bien en profiter.

 D'un petit regard complice nous connaissons d'hors et déjà le déroulement de cette merveilleuse soirée qui s'annonce à nous...

Les coupes se remplissent et le crépitement des bulles nous ravissent. Doux souvenirs...

Ses baisers se font insistants, ses caresses se précisent. La voici maintenant collée contre moi, je peux sentir sa poitrine contre la mienne et j'entends les battements de son coeur se réunir aux miens. Ses mains se posent partout sur mon corps frémissant d'impatience.
La voici qui se léve... Passe derriere la canapé...

Ses lèvres me couvrent de tendresse, se promènent sur mes épaules, m'embrassent me lèchent et me mouillent déja. Elle a en elle, cette douceur que seule une femme peut donner à une autre. Jai envie qu'elle aille plus loin, plus fort et plus encore. Je veux qu'elle me possède.

Je veux la sentir de partout sur mon corps. Je commence à faire monter en moi , au fond de mon ventre ce petit jus transparent.

Le feu désormais brule en moi et je lui offre ce que j'ai de meilleur.

Nos corps réunis sont chauds comme la braise rouge qui danse devant nous.

Soudainement, un foulard se pose sur mon visage, puis je suis plongée dans le noir. Je suis étonnée et surprise de ce geste impudant mais j'accepte avec résignation cette nouvelle règle du jeu que Maelle établit.

Bel échange de procédés!

La dernière fois, il est vrai, ce fut moi, la Maîtresse...

Avec un mélange d'excitation et de curiosité, je me plie sans un mot à ce nouveau rôle qu'elle m'offre en ce début de soirée.

Alors, je suis prête et dévouée à cette merveilleuse femme. Ma Préférée...

« Oui, Maelle, je suis à toi, fais de moi ce soir ton objet et joues comme tu le désire de mon corps et de tes envies secrètes...»Aurais je dû vraiment dire cela? Je n'en mesurait pas les conséquences...

Doucement elle entreprend de me déshabiller, détache uns à uns, tout doucement, les boutons de ma robe, ma poitrine se dénude... Elle me titille les mamelons .

Puis un nouveau parfum arrive à moi, différent du sien ... plus boisé, capiteux .

Je m'apperçois tout à coup que Maelle a quatre mains! Je la devine derrière moi et cependant je perçois aussi une autre présence, là, devant moi. Les autres mains' relèvent ma jupe et font apparaitre mes bas ornés de dentelles.Une bouche nouvelle se met à m'embrasser les cuisses. Cette salive me glace pendant que les cheveux de Maelle me frolent le visage.

Je suis prise au piége infernal de l'envie de deux louves en chaleur. Je ne suis devenue qu'une misérable proie!

On me donne à boire un peu de Champagne... et je ne trouve qu'un mot à dire ... « Merci...» !

Je bascule sur le côté, on m'aide, on me pousse, on me pose. Je reste là ou l'on me dit d'être ... Allongée sur ce canapé ,les yeux bandés je me sens objet de plaisir et cette sensation est en fait absoluement délicieuse. Peut importe dans quel rôle je suis ce soir , je me délecte de tout ce qui est et qui sera.

Je suis de celles qui profitent du moment présent sans avoir préparé forcément une rencontre ni un moment, ni même parfois les gens. Une pulsion comme l'on dirait! Une envie féroce et bestiale s'empare alors de moi...

Lintérieur de mes cuisses commence à se mouiller, je sens que je vais encore dégouliner et que ce petit fluide va couler hors de moi. Avec ce bandeau qui passe sur mes oreilles et qui me rend à la limite de la surdité, je suis à l'écoute de chaque bruit, chaque mouvement et de chaque personne qui se meut autour de moi.

Que va t il se passer? Que vont elles faire de moi ? Quelle grande méchante louve va enfin se décider à me manger? L'une ou l'autre? Peut être les deux ensemble?

Je suis dans l'attente, posée, là, dépendante du bon vouloir de ces dames! Elles ont maintenant disparues, me laissant seule avec mon envie, abandonnée avec mon désir d'elles ...

Impuissante je ne peux que me résigner, telle une esclave qui attend qu'on lui donne un ordre. Je les entends chuchotter. Je les entends rire ... Le complot se prépare donc... Humm!

Elles reviennent, enfin. Maelle est la première arrivée je la reconnais bien que je ne puisse la voir, je devine son pas certain qui vient à moi avec ses talons qui claquent sur le parquet.

“Le repas est servit...” me disent elles en coeur.

Et sans me délivrer, elles m'accompagnent en jouant à Colin Maillard avec mon corps. Je m'assieds. Puis, je sens des liens se poser sur mes poignets au montant de chaque coté la chaise.

Voilà donc... nous y sommes. L'une et l'autre simultanément, s'occupe d'un coté, délicatement mais fermement. Je dois les écouter attentivement parait il! Ce dont je m'applique à faire avec la plus grande concentration... Je vais devoir deviner ce qu'elles me donnent à manger !!Si je donne la bonne réponse je serais récompensée lors du repas, si je donne la mauvaise je verrais ...après... le repas! Les erreurs seront comptabilisées me disent elles!

"Que bois tu , là?” me demande Maelle. “Du champagne !”

Je sens alors la récompense promise s'abattre sur moi, de toutes parts arrivent alors de doux baisers. Deux langues se collent à mes lèvres me prodigant un interminable plaisir.

Et nous rions! Et nous continuons... à manger

“Du saumon fumé”

“De la crême fraiche”...

Je me demande si elles ne font pas exprès de me donner des chose faciles à trouver? Suis je leur plaisir ou vont elles être le mien? La question est posée! Je les entends se lever... Elles passent alors autour de moi et sortent mes seins durcis d'envie, de ma guépière noire et me titillent me lèchent me dévorent et m'embrassent goulument. Mes tétons se dressent vers le ciel et veulent encore de leurs bouches chaudes. Je me colle un peu plus à ma chaise.

“Et çà? C'est quoi?”

J'ai un doute... Me voila prise entre le fait de donner une bonne réponse ou bien de me tromper, le faire exprès mais en fesant tout de même attention que l'on ne remarque pas un évident flagrand délit... Je suis très curieuse et on ne peut plus joueuse. Je souris au fond de moi-même. Je décide donc de ne pas trouver... juste pour voir ce qui va se passer. A mi-chemin entre le désir d'être punie ou gatée... Selon. Les deux me conviennent en fait, car tout n'est que délicieux jeu mené en finesse et délicatesse.

Et puis je dois me remettre de cette foudre qui vient de me toucher!

“Langoustines” dis je ...

" Humm, non, non c'est une erreur Ma Chére...C'est de la langouste!”

J'adore cette erreur, j'adore me tromper. (Petit sourire du coin de mes lèvres).

"Mais continuons... nous verrons après comme prévu.”

Le champagne coule à flot et commence à m'enivrer.

Puis le déssert arrive... Fraises, kiwi juteux, chantilly, glace à la vanille, filet de chocolat fondu qu'elles me font gouter avec partimonie à la petite cuillère ou de leurs bouches... Et même de leurs doigts qu'elles posent sur ma langue. Elles recommencent à l'infini, à l'envers dans tous les sens de la dégustation... Comme c'est facile! Elles jouent de moi, de mon palais, de mes mots, de ma totale soumission...

Tiens... Cela me rappelle un film!

C'est sucré, c'est doux sur la langue comme elles deux.

Et...là, tout le monde disparait sous la table! Mes cuisses recoivent l'ordre de s'écarter... Commes deux petites chiennes qui viennent lécher les miettes tombées. Elles se delecteront de mon sexe tout prêt et moelleux .

Mes cuisses recoivent l'ordre de s'écarter. Elles recoivent un jet de chantilly froid qui sera immédiatement léché et dégusté à la source du plaisir puis une lichette de chocolat chaud dégoulinant comme moi se répend sur mes lèvres gonflées. Cette alternance de chaud et de froid me fait fondre d'exitation.

Les “hummm” de délectation infini n'en finiront pas... Deux lécheuses parfaites déguisées en goulues me mangent, me happent et aspirent mon clitoris tendu et tout rose de bonheur... La chaleur m'envahit de plus en plus, mon plaisir s'accroit, je suis prête a prendre et a recevoir ce que l'on m'offre du dessert!
Mais au fait? Je suis LE dessert!

 
Elles finissent par m'arracher des soupirs de bonheur, j'ai tout à coup le souffle coupé, je me laisse aller au plus profond de moi à ces doux frottements réguliers et intenses qui m'emportent enfin dans une jouissance incontrolable. Je gémis, je crie. Je jouis...

Puis après cette folle bourrasque qui m'a anéantie, je me sens libérée, mes mains m'appartiennent à nouveau et mes yeux voient la lumiére.

 J'ai devant moi, l'image d'une femme qui m'éblouit, aussi blonde que Maelle est brune aussi pulpeuse que Maelle est fine...

 “Douce vision de deux femmes qui savent bruler les draps, deux êtres entourés de lumières.”

 Elles me feront aller auprés de la cheminée, me releveront ma robe noire. Et, mon postérieur ainsi dévoilé, j'aurais une admirable féssée... à quatre mains.
Mes fesses en auront honte et rougiront de plaisir.

Délicieuse et sublime punission méritée .


Puis nous retournerons sur le canapé, et nous ouvrirons une autre bouteille de champagne...en riant encore, cette fois ci , à trois... de ce moment fabuleux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jeudi 2 octobre 4 02 /10 /Oct 13:57

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Je me surprend à rêver de ce corps tant désiré... imaginer de douces courbes... une peau ambrée... colorée comme le pain d'épice, parfumée de douces senteurs délicates… Agréables effluves mélangées de désirs charnels... Douceur d'un corps qui enivre les sens, pertube les pensées.


Mon esprit se plait à vagabonder au grés des images, qui maintenant, défilent dans ma tête, ivresse débordante, douceur extrême de deux corps réunis.


Envie... Désir...



Deux  Maîtres mots qui ne quittent plus désormais ma pensée... Je ne peux me délivrer de cette sensualité à fleur de peau et succomber au jeu de la vie du Plaisir... tel qu'il est, qu’il sera et tel que je le ferais. Je donnerai mon esprit, mon corps, au rythme des cambrures de l'autre... au mouvement de ces trésors imaginaires, imaginés... Mon esprit s'ouvre maintenant à la réalité.


Devant mes yeux, à la lueur d'une bougie timide qui danse... un corps se révèle, ce corps... Il va m'appartenir… elle va m'appartenir... offerte à moi... Entière, toute promise... elle me donnera tout d'elle. Elle est mon fruit défendu. Elle est CELLE... celle qui va enfin faire de moi ce que j’étais, celle que je suis.

IL est celui qui permet.


Dorénavant UNE ... PLUS... UNE ...


Je sens dans cette chambre colorée de pourpre  planer l'odeur de la vanille mélangée à son parfum… Je vois briller de milles feux ses cheveux couleur ébène... Les draps blancs révèlent sa peau satinée. Que de hâte à m'approcher d'elle, humer son corps, gouter son désir que je sens monter... sentir en elle les gouttes de pluies perler le long de ses cuisses déjà ouvertes... mais... pas encore... je dois retenir, me retenir... la faire attendre. Faire qu’elle sache que je suis là… loin d'elle... proche d'elle... et... tout près... oui tout près... juste LA sentir m'imaginer... imaginer ME sentir... Croire... espérer... savoir et douter, ne faire que désirer... enfin me laisser aller à ce plaisir interdit, celui qui ne se 'fait ' pas... mais satisfait pourtant tellement de femmes...


Elle ne me voit pas, ne peut savoir comment je suis, comment je la vois, comment je la perçois... un bandeau noir satin couvre ses yeux, reliant ainsi ses boucles brunes tombant sur ses épaules. Douce vision, douce possession et merveilleuse permission...


 


Ses jambes longues se mêlent d'impatience avec les draps blancs. Un mélodie plane sur la chambre mélangée à de longs soupirs. Une harmonie de notes surprenament liées. J’entends les notes de son cœur qui se précipitent dans sa poitrine, déposant délicatement un vent de désir dans cette pièce.

Tout n'est que douceur, tout n'est que longueur, attente interminable et merveilleusement excitante. Mes mains volent une caresse, puis une deuxième, puis s'offre à moi un long chemin de tendresse. Je sais qui me faudra du temps, le temps...


Je retrouve cette sensation oubliée et mes mains reconnaissent, sentent, se rappellent, et tout devient alors précis, connu. Je sombre alors dans le doux plaisir de l’abandon, sauvagement tentée par ce corps qui m'attend et observée par le regard de celui qui est là . Je m'approche plus près, encore plus, un peu plus... Jusqu’à ne plus sentir que cette chaleur qui se dégage et se confond à la mienne.


Mes lèvres approchent maintenant les siennes, délicatement, nos langues se touchent, nos salives se mêlent, comme dans un tourbillon incessant ou dans un ballet de danseuses. Mes mains se promènent sur son corps frissonnant qui attend.


Je m'arrète maintenant sur son mamelon dressé. Je le lèche, le fait se durcir encore plus. Puis l’autre, et je reviens, j'insiste, pour faire espérer, et je repars juste pour faire encore attendre un peu plus et pouvoir mieux revenir.


Après tout deviendra précis et plus fort, plus profond. Je m'attarde sur son ventre qui frémit d'impatience. Ses cuisses sont maintenant ouvertes. Elles m’appellent, me veulent, elle me demande et s'impatiente... Je sens son odeur se répandre ...


Pourtant aucun mot ne sort de sa bouche, elle ne me demande rien. Je percois uniquement de doux soupirs et gémissements. Je vais venir oui, maintenant, je vais venir, tu n'as que trop et bien attendu. Oh, que ce fut bon, bien mené dans l'attente! Oui, je vais te donner ce que tu attends de moi. Ce plaisir que tu souhaites, cette envie déferlante qui embrase  ton ventre, que je sens si fort et que tu veux me donner. Je viens... j'arrive.


Je t’embrasse comme si c'était la dernière fois, tout doucement, sur ta bouche goulue Puis... je glisse le long de tes seins, m'attarde un peu, pas trop, je dois goutter le gout de tes mamelons tendus à l'extrême, demandeurs du mouillé de ma bouche. Puis, je me promène sur ton ventre, ma salive te glace. Contraste saisissant avec le feu qui te brule .


Le désir se fait pressant, urgent, vibrant. L'eau bénite de ma bouche rejoint l'odeur de ton sexe qui suinte à n’en plus finir, qui perle de milles gouttes délicieusement parfumées. Ma langue effleure sur ton brillant bouton rose, tendu comme tes têtons... Elle se met à danser, à tourner et virevolter. Je sens ce que tu attend sans le demander.  Je sais que tu veux encore, plus fort, et plus encore. Je me perd dans cette danse bienfaitrice et ne pense plus qu'a t'offrir ce que tu souhaites de ma langue... et de moi.


Oui, je te donne, je t’offre, tout pour toi, ton plaisir, à l'infini... Mes doigts entre dans ta fente qui m'appelle glissante, chaude, accueillante... je continue à te lécher, te manger, te croquer, te titiller…te déguster. Je trouve le rythme qui te convient...


Dans un plaisir mélangé nous perdons à deux nos têtes, les pensées disparaissent, les envies se pressent... Je perçois une montée intense t'envahir soudainement. Et tout en continuant, je sais ce qu’il va advenir de toi dans le temps qui s'écoule...


Ton corps se raidit... tes cuisses s'écartent un peu plus... ton souffle se fait rapide et court à la fois. J'entend ton cœur s'affoler et battre jusqu'à presque s'en arréter, je vois tes mains attraper le drap et tes seins se dresser au ciel. Ton esprit s'évanouit, se confond. Tu laches prise et tu t'abandonnes.Tu es tellement belle.


Et oui, cela va venir, cela arrive cela vient, oui , c'est là... La tendre et douce petite mort t'emmène au pays des songes réels du plaisir.
Et je te sens jouir de plaisir, te cambrer, aller encore plus loin, chercher jusqu’à la dernière goutte l'offrande du bonheur.

 

 

 

 

 



 


 

Mercredi 1 octobre 3 01 /10 /Oct 05:56

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Petite ode à votre sein pailletté...

J’ai trouvé une plume arrachée au manteau d’un ange.

Il m’a effleuré cette nuit, laissant derrière lui comme une signature. Je crois que c’était vous. Ne protestez pas vous êtes découverte. Si parfaitement découverte qu’on aperçoit la lune, ici saturne et ses anneaux soyeux et puis voici Vénus…

Et cette autre planète quelle est-elle? Constellée de millions d’étoiles la nimbant d’une aura irisée. Voie lactée? Je ne sais pas… Voie royale? Certainement, qui mène jusqu’au ciel où dansent les comètes.

Vous êtes parmi elles, nymphe diaphane à la cuisse lègère et au sein leste, à la fesse charnue et au sourire radieux.

Ne mentez pas je vous ai vue, il en reste quelques traces auréolant votre téton.

PS: Si se dissimulent ici ou là quelques allusions un peu…tant pis pour vous. 

....



         Humm... Merci Fahrenheit, j'en veux encore pleins des comme çà! ... j'adore.

 






Lundi 29 septembre 1 29 /09 /Sep 18:25

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 Ma reine,
 



Je constate avec bonheur et un brin de jalousie que vous avez profité de mon absence pour pousser vos avantages que la nature vous a offert en nombre et qu' en tout cas vous savez mettre en valeur.

Partout l'ennemi recule (Comment voulez-vous, comment voulez-vous, ma Reine que...) vous avez terrassé toutes ces bites turgescentes, toutes ces bouches avides, tous ces culs ouverts aux quatre vents (Ca, c'est limite, je l'avoue), toutes ces poitrines plantureuses...

Partout vous triomphez, ne laissant derrière vous que fouines remuantes et insolation .

Maintenant que la clameur du con bas s'est tue (Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit ma Reine, vos jambes sont parfaites, pas du tout trop courtes!), je me prends à regretter nos heures con plisse...

Sur ce front nord où je suis exilé, le gland s'écoule lentement, pas le moindre petit morceau de miche ou de verge au saut du lit, je vais devoir crier "ça me mine", chez fourre-mi (et fourre-moi sont dans un bateau, fourre-mi tombe à l'eau que reste-t-il ?)ma voisine, tandis que vous cigale vous bronzez, vous chantez, vous buvez (Si j'en crois vos dernières images)...

Quand inspecterez-vous donc vos armées ? J'ai hâte de me montrer au garde à vous (Faites vite, je ne tiens pas la position bien longtemps...à mon âge...) dans ma tenue d'apparat!

En attendant, je fais toutes sortes de manœuvres (Bon ça, c'est encore plus limite!!!) et j'entretiens le matériel...

Ma Reine, prenez soin de vous, mais vous n'avez pas besoin de mes recommandations, je crois que vous êtes une experte en la matière...

Votre dévoué bouffon,
qui espère vous avoir distrait. (En tout cas, lui il s'est bien distrait!!!)


...


 

Ô Déesse triomphante au corps de miel, maîtresse impitoyable harnachée de cuir et d'airain, te voici sortie tout droit du front fécond de quelque Dieu bénéfique
Ô Beauté farouche offerte aux Hommes pour adoucir leur sort tragique
Je suis ton adorateur fidèle et lointain
Je cherche ton autel pour y déposer mes offrandes
Voici des fruits charnus pour assouvir ta soif
Voici des breuvages capiteux pour te faire perdre raison
Voici un ciel d'orage pour réhausser l'éclat de tes yeux
Voici une déferlante pour chavirer ton cœur
Voici des huiles délicates pour enflammer ta chevelure
Voici des perles, des plumes et des dentelles
pour magnifier ta peau cuivrée...
 
je te connais...tu sauras en faire bon usage
Voici des parfums sucrés pour affoler tes sens
Voici mes lèvres pour éveiller tes désirs
Voici la paume de ma main pour flatter ta croupe altière
Voici un bouton de rose pour combler ton vase moiré
Voici mes mots pour empourprer tes joues et me livrer à ta jouissance.

 



 ...

L'heure est grave, Madame!


Orgasnisons tout de suite les raies seaux, pour l'instant nous ne sommes que deux, mais d'autres viendront immanquablement se joindre à nous (Quelle partouze!!!) pour faire triompher la sensualité et l'érotisme, alors vous monterez sur le trône et vous serez notre reine, je serai votre bouffon.

Pour commencer il nous faut une bannière: je propose une de vos culottes Majesté, à vous de choisir: dentelle, soie, cuir...Le seul problème, c'est que vue la petitesse de vos dessous, cette éten dard ne se verra guère de loin...tant mieux, je serai obligé de me tenir tout contre vous!!!

Ensuite, il nous faut un mot de passe bien trouvé, pour empêcher quiconque de nous prendre à revers et de pénétrer nos arrières...je vous laisse le choisir Altesse, sortant de votre bouche, il n'en sera que mieux léché. Si vous ne trouvez pas je me propose comme mot de passe. Quel petit pervers, tout ça pour mieux se faire lécher par la reine!!!

Il nous faut des uniformes et des armes, je crois que nous trouverons ce qu'il faut dans vos armoires, je ne sais pas s'il en existe à ma taille, tant pis, je chevaucherai nu à vos côtés.
D'autre consignes viendront bientôt...Surtout ne laissez pas tomber ce message entre des mains inconnues.

Lisez-le, en extrayez la quintessence et avalez-le aussitôt!
Mais que faites-vous Altesse, vous attaquez ma braguette, la fin de mon message vous aura induite en erreur, je vous ordonne de vous arrêter...quoique...

Foutre,fichtre...Pompez ma reine, pompez et ne vous arrêtez jamais...
D'autres consignes viendront.

No Passaran!!!
...
 
Restez fidèle à vous même et à ce qui vous fait vibrer, peu importe le fantasmane...Ensorcelé.





" Merci Fahrenheit !! vous sentez tellement bon ..."  Titia

 

 ...si vous avez envie, vous aussi de me faire parvenir de jolis mots, ne vous génez pas, je les publierais avec grand plaisir...

 



Vendredi 26 septembre 5 26 /09 /Sep 20:00

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Voici devant nos yeux un tapis verdoyant dont la couleur ferait palir un peu plus de honte le soleil tombant.

Plantés aussi régulierement que des pièces disposées sur un jeu d'échecs, des noyers s'offrent à nous dans toute leur splendeur d'automne.


Plus loin, quelques pommiers dont les branches plient sous le poid de leurs fruits tracent la barrière qui nous sépare de la voix férrée toute proche.


En bruit de fond, le train qui passe, imperturbable. Cassant ce silence dans lequel rien ne bouge.


Une fine bruine nous caresse le visage et offre à cette nature vierge ce don bienfaiteur qu'elle attend pour resplendire en cette fin d été.

La couleur pourpre d'une bouteille de Bordeaux ajoutée aux faibles rayons du soleil donne une note de couleur à ce tableau de maître. Le tintement de deux verres de cristal apporte la musique.

Habillés de noir et de blanc, nous sommes conviés à la cérémonie de la délectation de nos corps, avec pour seul témoin : Dame Nature qui posera sa signature sur le registre du ' Grand livre du Moment présent ' .

Allongée sur un plaid de la couleur de notre désir, j'attends qu'il vienne me servir ce délicieux vin .

Je me fait toute prête, toute disposée pour lui .

Nous avons comme spectateur proche, un arbre qui tente de toucher du plus de ses branches les gouttes d'eau que le ciel lui déverse.

Je me fait chatte dans mes postures juste pour évéiller en lui son instinct de félin, il peut même entendre mes ronronnements discrets de plaisir naissant.
Je sais ce que j'ai envie d'être en cette fin d'après midi, à quoi je veux ressembler, en qui je désire me tansformer pour lui.

Entre chienne... chatte... louve ou cochonne, mon coeur balance.

Le feu commence à bruler en moi.

Le vin coule dans ma bouche et avec délectation j'imagine que dans un instant ce sera la sève de cet Homme dréssé au dessus de moi qui prendra la place de ce breuvage qui fait enniver les sens.

Mon esprit se perd autant que mon envie se réveille, les émotions sont inversées. Je me rends compte qu'UNe autre va me remplacer dans ma propre peau de femme. Une âme, une attitude de bête se prépare à entrer en moi .

Je suis posée sur les genoux, il s'approche un peu plus près de moi et de sa main, il fait entrer son sexe dur dans ma bouche. Je le prends, je le mange, le suce et l'aspire. Je le léche avec délice et envie goulue. Je joue avec son gland gonflé entre mes lèvres. Je le mouille pour bien le faire glisser dans ma gorge, je l'enfonce encore plus profond jusqu'à m'en étouffer. Il me donne la cadence, je lui offre la décadanse .

Mon visage devient brulant et la fine pluie me raffraichit.

Son pantalon a glissé sur ses jambes pendant que son artaban glisse autour de mes lèvres..

Voici maintenant que son sexe tendu mandie le chaud de ma bouche, vient me chercher et me pénètre la gorge. Je le bloque dans une main en continuant à bien le suçer et de l'autre je lui caresse ses boules rebondies. D'un mouvement précis, j'allie ces deux caresses en gardant le contrôle d'un rythme qui semble lui convenir à merveille .

Il se délecte de la ronde incesante que lui procure ma langue qui tourbillonne.

Et je suis à genoux devant lui, toujours... J'ai plaisir à le voir grand au dessus de moi, à être sa chose qu'il désire prendre comme il l'entend, à me guider dans le plaisir qu'il veut avoir de moi. Et j'aime me transformer en chienne pour lui, l'espace d'un moment comme celui là.

Etre soumise à ses ordres et à ses fantasmes, tout lui donner de moi, ne rien refuser pour mieux lui permettre. Je m'abandonne, je feins l'humilité de mon corps sans aucune pudeur ni retenues. Il me baisera comme une salope et me respectera pourtant comme sa soeur...

Il a gardé le verre dans sa main, comme si rien ne se passait et tranquillement il continue à boire...

Moi aussi je vais bientôt boire. Je le sens. Je le sais. Et j'attends ce moment.

Son mouvement se fait plus rapide, je l'aspire plus fort, l'enfonce plus loin encore...

Puis le verre tombe et se brise...

De doux spasmes se font sentir sous mes doigts. Puis je sens son nectar sucré se rependre par flots dans ma bouche. Humm... je le goutte, le fait tourner sur ma langue, joue de cette offrande au goût de miel .

Je me régale enfin. Je n'avale pas pour mieux profiter encore de cette saveur qui s'évanouira petit à petit au fond de ma gorge.

Je continue à faire entrer et sortir sa queue de ma bouche en mélangeant salive et doux sperme.

Douce frénesie d'un moment qui ne s'arrête pas, un autre instant va cependant prendre le relais...

Il me relève rapidement, me colle contre cet arbre tout proche qui nous regarde, mes talons s'enfoncent dans l'herbe humide. Je ne peux plus bouger, je suis prisonnière, coincée entre l''écorce et cet Homme qui se colle dans mon dos.

Il relève ma fine jupe, mes fesses sont nues, mes bas noirs s'accrochent contre le tronc...

Il pleut en moi comme il peut sur nos têtes, avec ses doigts il fait remonter le mouillé de ma fente jusqu'à mon petit trou. Il les enfile partout à la fois, je tends mes fesses et me cambre... J'ai envie dêtre à lui toute entiére, me sentir possédée dans ce que j'ai de plus intime.

Je sens son sexe se frotter contre mes fesses, contre mes deux orifices maintenant bien prêts et offerts.

Il me fait m'incliner un peu plus encore. Il vient me pénétrer, s'enfonce dans ma chatte dégoulinante, instant merveilleux d'un va et vient qui se fait de plus en plus rapide. Je carresse de mon index mon clitoris tout tendu de désir. Ma joue se frotte contre l'arbre. Je perds presque l'équilibre. Il me retient et me tient. Il m'attrappe avec fougue.

Je sens tout à coup son sexe  sortir et venir se coller contre mon petit trou qu'il prendra soudainement.

C'est un mélange de plaisir et de douleur momentanée qui laisse la place à ce grand laisser aller qu' est le bonheur d'appartenir à l'autre au plus loin de son esprit abandonné.

Sodomie exquise qui réchauffe mon corps et embrase mes fesses.

Le plaisir de la soumission.

Je me fais cochonne maintenant.

J'entends le train qui crisse sur les rails et la pluie se fait plus forte.

Je jouis à n'en plus finir dans ce décor et cette ambiance d'automne naissant ou la pluie nous transperce maintenant.
L'humidité maitresse des lieux nous envahie et remplie mon ventre d'une nouvelle semence.

Nous n'avions pas à nous rhabiller, nous courerons vite en riant comme deux enfants dans un champs, puis nous nous en irons comme le train qui file au loin ...

Coeurs battants sous pluie battante...

 





Jeudi 25 septembre 4 25 /09 /Sep 22:26

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