Les récits


C'est l'âge de raison dit-on.
A cet âge là, on se rend compte paraît-il!

Papa, maman disent: « Il est temps de devenir grand. »

Maintenant, « C'est sérieux, tu vas rentrer à la grande école! »

Moi je rigole dans ma barbe que je n'ai pas...


A 7ans, dans la cour de récréation, c'est les filles avec les filles et les garçons ensemble. On ne mélange pas tout! Beurk, les garçons! Ils n'ont qu'à rester entre eux!

On sent deja la différence des sexes.

On sait dire un vrai oui, un vrai non...

Quel bonheur de pouvoir contrarier les autres!


Moi je crois que l'on joue toujours à « être un grand »

Et que l'on est tous, au fond, des enfants qui sommeillent...

Toujours les mêmes.




 

                                      C'était moi, ici, à 7 ans...
                                      Vous trouvez que j'ai l'air d'une grande?

                                      J'avais déjà un chapeau, comme maintenant...

                                      J'avais aussi une jupe...noire, comme maintenant...





                                       Mais, en vrai, je suis toujours la même.

                                                         J'ai juste grandit...

                                                              Comme vous...

 






Mardi 6 janvier 2 06 /01 /Jan 18:06

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                                                       A mon inconnue.


Si tu es... elle...

Si tu as cette passion des corps de femmes,

Si tu n'as pas de doutes sur tes qualités ni sur tes possibilités à venir,

Avec cette petite dose de prétention mais aussi d'humilité,

Si tu connais ton corps, ou est à même de savoir ou il peut te mener ,

Que tu es avide de découvertes, de plaisirs entiers et raffinés,

Si tu es capable de réfuter la jalousie, l'envie et... de faire abstraction du passé ...

Que tu sais saisir le moment opportin

et que tu es à même de l'apprécier tel qu'il arrive à toi,

Si au fond de toi, tu as l'âme créatrice, inventive, novatrice,

Si tu peux être fidèle à tes paroles et que tu sais t'exprimer même dans le désaccord ,

Si tu es honnète dans des désirs et aussi avec ton corps, franche dans tes refus...

Que tu souhaites créer et aller de l'avant dans ce qui n'est pas commun...

Si tu détestes l'ordinaire,

Ah... si tu es capable de réaliser tes fantasmes au dela de tout,

et que tu n'oublies pas que le temps passe...

Que tu saisis ce qui s'offre à toi, toujours...

Si tu anticipes ce qui te plait et prévois ce qui sera,

Et que tu ignores le “qu'en dira -t -on” en ne pensant qu'à ton bonheur...

Et que tu sais l'offrir à l'autre...

Mais aussi que tu comprends bien qu'il y a des limites à tout!

 

...Je te veux chatte dans tes postures et chienne dans ta fidélité ....”


                              Si tu penses que tu es celle là,

                              et que tu as tout çà en toi,

                              Alors un jour tu seras mienne ...

                              Car moi, déjà, je t'aime...



                                                                                            Titia













Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 10:33

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    Il est 5h 45, je n'ai pas encore dormi de la nuit... Pourtant un homme est dans mon lit il déguste le bon petit dejeuner que je viens de lui monter... et esssaye de dormir...


     Et bien voilà; il faut bien que je me rende à l'évidence. Comme un virus qui me ronge: je dois écrire... Cela fait longtemps que cela mijote, que je le sentait venir et que c'était en moi... Ce sujet là...

      Une chose qui est dans chaque être chaque personne née ici bas!

      Et il me vient à l'esprit ces fameux 7 péchés capitaux... Je crois d'ailleurs les avoir tous connus et vus en moi, et j'ai senti et decripté ce qui fait qu'un être est ce qu'il est avant même qu'il ne naisse.

      Je ne vais pas tous vous les citer... Oh et puis si ! Mais je pense aussi qu'il en manque un...


     Qu'il s'agisse de la luxure, de la paresse, de l'avarice, l'envie, la colère, la gourmandise ou l'orgueil. En voici un autre qui aurait du être cité et qui ne l'est pas... Un grand , somptueux, un charnel, et que tout un chacun a connu, vécu, subit, ou sentit en lui. Un grand péché qui est à l'origine de tous les autres et qui les relient pourtant tous entre eux, sans être cependant présent dans la fameuse liste.


      Ils sont au nombre de 7... Ces fameux péchés, le 7, chiffre idéal, le chiffre de la perfection et du Divin... Pourtant le 8 serait meilleur pour l'humanité, car il est la suite, il est l'infini, le symbole de la matérialité mais aussi des mystéres de l'univers.


      Mais attention: prudence! Pour ce 8ème péché rajouté, il faut de la force pour résister à cette pression infernale qui est paraît il: normale... aux yeux et au jugement des autres? L'espérance nous fait croire qu'un jour ou l'autre cela cessera. Que l'on maitrisera... Cependant, il n'en est rien.

       Mais comme nous sommes tous des êtres très charitables et très bien élevés, nous nous disons qu'il est bon de tout partager avec les autres, nous la transmettons, insidueusement comme une maladie contagieuse! Telle la peste.

      Enfin donc, la voilà, Mesdames, Messieurs... la voici la grande, la belle, la magnifique... La somptueuse: JALOUSIE .


      J'ai entendu et j'entends souvent dire mais « Quand on aime, on est jaloux, c'est normal» !

       La jalousie n'est qu'un acte de possession mal placé.

      Et bien moi, j'aime quelques fois , j'ai aimé hier et j'aimerai demain et à chaque fois , la même chose se produit en moi; je ne suis pas jalouse !

       Suis-je normale Docteur Ciboulot ?

       Est-ce alors une question de confiance? D'amour propre, d'égoisme profond que je n'ai pas ? Ou bien alors ai je deja saisis que les personnes aimées ne nous appartiennent pas dès lors qu'elles sont sorties du ventre de leurs mères mais qu'elles ne sont qu'avant tout à elles mêmes?


     Pour la plupart d'entre nous, lorsque que l'on parle de jalousie, on pense tromperie, forcément.

      Je pense que plus on a peur d'etre trompé ou quitté plus on a de chances de l'être.

      Et tromper ça veut dire quoi d'abord ?

      J'ai confiance en moi, je sais que je peux donner à l'autre LA reconnaisssance car je me reconnais en tant qu'etre humain. Je m'aime, oui... je m'aime. Et plus ce sentiment m'habite, plus je peux l'offrir à l'autre. En totalité.


       Qu' est ce qui est grave dans la vie ?

       Tromper avec son corps qui n'est qu'une enveloppe après tout ou tromper avec la tête ? N'est-ce pas plus précieux de savoir atteindre ce qui ne se touche pas des doigts?    
      Atteindre cela plutot que de survoler un simple corps si beau soit il ? Si vous aviez à choisir l'une des deux façons d'être ''trompé'', (comme l'on dit) laquelle prendriez vous ? Moi, j'aime la communion des neurones, cela me fait jouir sans que l'on me touche!... Donc, j'ai choisi...

       J'estime que lorsqu'une personne m'aime, elle le fait avec son esprit en premier. Donc, tant que celui-ci me rejoint, me pénêtre, m'emporte, je ne serais jamais trahie même si ses mains touchent un autre corps.

Peu importe pour moi, ce ne sont que les plaisirs de la chair!


       Ah , les fameux plaisirs de la chair...

      Au fait, mangeriez vous du poulet tous les jours, vous, matin, midi et soir pendant au moins 10 ans ?

       Alors ne me dites pas Madame, Monsieur qu'aucune fois, jamais, une toute petite envie de belle viande saignante ne vous a jamais traversé l'esprit ?

       Une jolie entrecote bien rouge qui traverse la route n'est elle pas tentante Monsieur ? Un faux -filet (sans gras!) ne vous fait il pas... saliver, Madame?

       Que les anorexiques du plaisir lèvent le doigt!

       Laisser donc votre partenaire s'exprimer et s'épanouir sur ses propres goûts et vous ne ferez que le garder car il reviendra vers vous du fait que vous savez bien préparer le plat! C'est à dire, l'autoriser !


       Il est donc évident qu'aucune personne ne se satisfait pas d'un seul corps durant toute sa vie! Il est important de l'assimiler très vite.Un corps n'est rien même si nous passons notre vie entière à l'entretenir. Mais l'esprit lui, n'en a jamais fini d'évoluer. Alors évoluons,ensemble, dans un sens positif et constructif; ne nous laissons pas envahir par ce sentiment négatif qui pollue notre cerveau, qui ne sert à rien, à part se faire du mal et en faire aussi aux autres par la même occasion. Ouvrons nous à d'autres choses bien plus importantes. Allons vers cette évolution nouvelle... vers l'infini.



       Il est temps maintenant, je vais rejoindre l'Homme... qui doit dormir... à moins que je ne le réveille? Histoire de se réjouir de ces plaisirs divins qui sont ceux de la chair humaine...



                                                                                       Titia



 



Image du net...

Jeudi 4 décembre 4 04 /12 /Déc 16:18

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                                                   Une face dévoilée, une autre... cachée.
                                                    Il y a deux corps habillés à l'identique.
                                                    Qui s'amusent d'un Jeu de perles
                                                    et se délectent d'une partie de nus...
                                                    Les deux font 'La Belle'...


              

              
                Et ces deux couleurs symboliques
                Que l'on n'a jamais assez vues:
                Perles qui se meurent avec le blanc
                Soutenues par le noir... Perles d'espoir.



                                                      
  
                                                     Deux corps habillés de perles,
                                                     posées et collées à la chaleur de la peau.
                                                     Qui deviennent chaudes au milieu des seins, 
                                                     qui roulent et suivent les courbes.


 

         Perles rondes, brillantes et délicates,
         A saisir entre ses mains.


                                                        

                                                        Perles Ö combien dévoilées,
                                                        Perles de pluies 
                                                        Perles de nacre...








                      Perles de cyprine...
                                                       
    Je l'imagine...
                                                                trouvées dans un endroit
                                                                ou le plaisir sera roi...









Lundi 3 novembre 1 03 /11 /Nov 12:23

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Fatigué par une dure journée de travail, sollicité de toute part, IL a pris rendez-vous chez son coiffeur habituel, pour se «changer la tête» à défaut de se la vider…Embouteillages incontournables à cette heure-là… il va arriver en retard , peut-être même le salon sera-t-il fermé?

Enfin, après un concert de klaxons échangés de toute part, les voies se dégagent enfin, comme par magie. Il trouve une place devant le salon dont les lumières lui semblent fort tamisées.

                                 «J’espère qu’il m’aura attendu» pense-t-il.

IL pénètre dans la boutique; une jolie jeune femme qu’il ne reconnaît pas, s’avance vers lui.

                                «Veuillez m’excuser, je suis très en retard, j’étais coincé dans un affreux embouteillage…» bredouille-t-il…

«Désolée, répond-elle, le patron a dû partir, il m’a demandé de m’occuper de vous, vous êtes un client fidèle, je crois…. Et moi, je suis nouvelle. Je m’appelle Irène!

Mais ne vous en faites pas, si vous n’êtes plus pressé, je vais m’occuper de vous calmement. Vous êtes là pour vous détendre et je vais vous y aider...»

"Tenez, passez au bac, je vais vous faire un shampooing, et comme vous semblez stressé, je vous ferai un massage du cuir chevelu, vous verrez, c’est radical, vous allez être zen comme jamais...»

Elle lui tend un long peignoir et l’assied, la tête renversée en arrière.La chaleur de l’eau, l’odeur boisée du shampooing, la musique douce, lui font fermer les yeux.

Irène a les mains si douces… comme promis, elle lui passe une crème adoucissante sur les cheveux et commence un lent ballet de ses mains qu’il sent fines et sûres d’elles.

Elle appuie doucement sur le sommet du crâne, le divisant en deux lobes distincts.

Les doigts vont et viennent, caressent, massent, palpent, effleurent, attrapent les cheveux et les lissent, une sensation de calme et de plaisir mélangés s’instille en lui.

Sous ses paupières closes, il rêve un peu, sa tête s’éloigne de son corps, il lui semble flotter, il pense qu’il va s’endormir bientôt.

De longs doigts glissent sur sa nuque en la massant habilement. Quel bonheur! Il ne peut s’empêcher de lâcher un petit Hum!!! de plaisir.

                              Elle demande « Alors, vous vous sentez mieux, plus détendu?»

                              «Je suis complètement bien, j’aimerai que vos caresses ne s’arrêtent jamais, Irène; vous avez un talent inouï.»

Elle éclate de rire en entendant ces compliments et lui glisse à l’oreille

                                 «Dites-moi, avez-vous envie d’être … encore mieux et encore plus  détendu?»

                                  «Oh oui, Irène je vous fais entièrement confiance…» lui répond-il…

                                  «Dans ce cas, je vous demande de fermer les yeux, de vous laisser faire … complètement, pas de geste brusque, nous parlons de... pure sensualité...»

Un peu inquiet, il ne répond pas, mais garde les yeux clos et attend la suite.

Elle lui pose un masque sur les paupières, celui que l'on distribue sur les vols «longs courriers» masque de repos et de relaxation…

                                   «Parfait» dit-elle, on ne bouge plus, on se laisse faire.

Les massages du cuir chevelu reprennent, mais il lui semble que les mains ont un peu changé , qu’importe c’est toujours aussi agréable.

Ses mains reposent sur les accoudoirs et il somnole…
Soudain, il sent des doigts très fins entrouvrir sa braguette. Il sursaute…

Irène lui passe sa langue dans l’oreille et lui intime l’ordre gracieux de se laisser aller… complètement et sans parler…
IL comprend enfin ce qui l’attend et se tait, ravi…
D’ailleurs, cette langue chaude qui cherche ses points faibles et les trouve vite n’est pas faite pour lui déplaire; elle sent les sous-bois au printemps, le vétiver, le bois de rose et de santal…

Elle se penche sur lui, lui introduit sa langue dans la bouche et le baiser qui s’en suit est chaud et langoureux. Hum!!! Experte Irène

Elle le dévore un peu plus fort, s’immisce jusqu’au fond de son palais, cherche le contact de ses dents et se glisse entre ses gencives et le bord de ses lèvres… Elle électrise tout son épiderme, oui, elle l’excite complètement. Il lui répond sur le même tempo, harmonisant leur envie mutuelle…

Soudain, il sent qu’une main a libéré sa queue, brandie haut et fort hors de son carcan de toile sèche…une main manucurée, douce, polie, fraîche et comme couverte de crème le maintient fermement.
Il ne peut voir, il n’a que sa peau comme indicateur de sensations…

                                «Là aussi, je vous fait un massage, Monsieur mon client?» murmure-t-elle?

                                «Oh oui, Irène l’experte, faites de moi ce que vous voulez, mais faites-moi encore du bien, vos mains, vos mains…..»

IL ne trouve plus ses mots ou l’émotion d’une telle aventure inattendue le submerge.
Elle l’enduit effectivement d’un liquide, une crème, une émulsion, quoi?

IL n’en sait rien, tout ce qu’il sent c’est qu’elle le chauffe de plus en plus…
Elle a pris son sexe dans ses deux mains et tel un bâton elle le fait tourner rapidement autour de ses paumes.

                                 «J’ai toujours rêvé de jouer les majorettes» lui glisse-t-elle dans le cou!

IL rit de ses audaces et elle le maintient fermement, faisant monter de plus en plus fort son désir...
Son sexe est enduit d’une sorte d’élixir qui l’excite follement.

Soudain, il le sent pénétrer dans sa bouche divine, ses lèvres maquillées d’un rouge incarnat l’aspirent, goulûment, elle salive, l’enroule, le fume, le souffle, inspire, comme un cigare cubain dans la bouche d’une cubaine…

                                «Oh comme c’est bon Irène, vous êtes la Reine…de la sucette cubaine, je suis tombé sur une spécialiste de la chose et j’adore!»

 

Elle l’aspire de plus en plus fort, de plus en plus vite, son rythme cardiaque bat la chamade.

                                        «Oui, oui, c’est bon, mais vous allez me faire partir, je ne peux plus tenir à ce rythme, Irène, faites quelque chose pour moi, je suis en danger d’explosion!»

A peine a-t-il terminé sa phrase qu’il se sent partir, son foutre explose dans la bouche charnue d’Irène qui l’aspire tel le vénéneux animal qu’il est.

IL sent les pulsations de ses jets de sperme battre dans ses veines sur un rythme soutenu

                               «Tiens, tiens, tiens encore, tu en veux encore, Irène? tiens encore…».

Elle le boit, le pompe encore plus fort, il lui semble perdre conscience tellement cette sensation lui semble puissante ou simplement oubliée?

Il jouit encore, il crie, il hurle en attrapant les longs cheveux de sa tigresse toujours plus déchaînée que jamais.
Elle retire alors sa bouche, tenant son dard turgescent et enflé dans ses longues mains.

IL ne tient plus et retire le masque qui lui cache ce si beau spectacle.
En la regardant droit dans les yeux, il éjacule encore sur ses mains, elle promène alors son trophée contre son ventre, ses cuisses…
Elle est habillée, mais il aperçoit des bas noirs très fins retenus par un porte-jarretelles! Tout ce qu’il aime!

                               «Met-là contre tes bas, je veux jouir sur tes bas».

Elle s’exécute et lui envoie de puissants jets chauds et crémeux entre ses cuisses resserrées et sur la tendre partie de sa peau que le bas ne couvre pas, elle lui frotte la bite contre son porte jarretelles et il envoie une salve d’adieu à sa belle…

                              «Oh, Irène, je n’ai jamais joui comme ça, en tout cas, jamais dans de telles conditions, vous êtes ultra bandante et sensuelle; j’aimerai penser que tous vos clients n’ont pas droit au même régime».

                               «Vous voyez, quelque fois, il vaut mieux être le dernier client, plutôt que le premier…» lui répond-elle, mutine…

Vous me plaisez beaucoup et j’avais envie de vous le… dire!

                               «C’est bien dit, Irène, je n’oublierai pas désormais d’arriver en retard à mes rendez-vous… chez le coiffeur»…


                                                     


  C'est Mademoiselle PRALINE qui a rédigé ce joli texte...

                                                     
                                                      Merci Praline ... cache toi ! Je vais te croquer ....







Jeudi 30 octobre 4 30 /10 /Oct 10:57

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Je suis aujourd’hui professeur de mathématiques.
Le théorème de Pythagore commence à me chauffer les oreilles…
Heureusement, je ne suis pas seule, deux stagiaires m’accompagnent.
Je décide donc d’en profiter.
Mon esprit vagabonde et mon imagination ne tarde pas à se mettre au boulot…

Ah! toi... ma fidèle amie, complice de mes tourments, toujours présente quand il faut!
Mes pensées t’appartiennent…

Je suis là, je ne sais pas où, je n’essaye même pas de le savoir. Et toi près de moi… jete sens… je te devine… je t’imagine… Je n’ose te chercher… je t’attends.

Tu me laisse posée là, telle une statue de marbre, immobile, glacéé… un véritable iceberg… je tremble. Un souffle léger vient durcir la pointe de mes tétons humidifiés d’un coup de langue. Petit vent sur la braise...

Tu es joueuse, tu insistes… je souri! Je me souviens de ce que tu as écrit...
Une douce chaleur caresse ma peau…

Doux baisers, brûlant ma peau frissonnante. Je sais que ce n’est que le calme avant l’incendie. Je me régale déjà. Il me tarde de consumer le plaisir absolu. Brûle moi les ailes Ma Diablesse.

Fais moi crier… ne te gène pas!Abuse de tout: je te donne, je m'offre à toi.
Un doux supplice se lis dans mon regard, la chaleur monte.

C’est qu’elle sait me surprendre… si garce et si douce dans ses gestes brusques… je m’enflamme.Je fonds et ma chatte devient fiévreuse… perle… fluide révélateur. Le passage de ses doigts y laisse des marques… marques d’envies… OUI d’envie, de désir et je coule de ce désir.
Et cette langue tant réclamée, tant recherchée et longuement attendue...

Eté d’un moment torride brûlant l’hiver des mes mouvements.

Je la savoure, elle me déguste, je me délecte, elle me contrôle…
Je ne perçois plus que PLAISIR. Le temps n’a plus le temps, plus de minutes, de secondes, je suis perdue...
Me voilà telle un volcan en ébullition qui attend, se retient… NON je ne peux me retenir… j’explose!
J’ai terriblement chaud, je crépite, je brûle… je meurs….

DOUCE PETITE MORT…


La sonnerie retentit et me sort de ma réverie, mon esprit refait surface…Je réapparais.

Me voilà bien trempée… Je pars errer dans ces couloirs, qui me semblent bien tristes, en pensant à nous, l’entre cuisses bien glissante…







Merci Missy, c'est une bien jolie lettre que tu m'envoie là...Titia




Samedi 25 octobre 6 25 /10 /Oct 20:46

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Ce soir, je posais.

Pendant une pose longue de 3/4 d'heure sans bouger,mes
pensées vagabondaient et je pensais à toi. Je t'ai dit plein de choses
douces, dommage que je ne puisse pas m'interrompre pour les écrire, parce
que c'était beau, mais ma mémoire est volatile. J'étais nue là devant une
bonne vingtaine de personnes et je t'imaginais parmi eux. Tu me regardais :
placée de dos, avec une glace devant moi renvoyant l'image de face. J'avais
les avant-bras appuyés au dossier d'une chaise et les jambes croisées, pour
faire ressortir la courbe de mes fesses et la cambrure de mon bassin.

Tu m'observais tellement que je sentais alors tes mains parcourir mon corps,
faisant frémir mon épiderme tendu sous la caresse. Mes seins s'agitaient
imperceptiblement sous tes coups de langue coquins et aguicheurs, les
tétons s'empourpraient en durcissant, ma nuque se courbait doucement sous
l'emprise ferme de tes mains attrapant mes cheveux, mon ventre se creusait
sous l'effet du désir que m'inspiraient tes caresses devant tout le monde,
mais moi seule le savait et le sentait.

Puis tes mains s'immisçaient d'autorité, entre mes cuisses croisées et
cherchaient le chemin de mon désir. Sans défaire mes jambes, je te
laissais me fouiller, m'ouvrir, me pétrir et me pénétrer de tes doigts
délicieux, humide de mon envie folle de te prendre dans ma bouche. Soudain,
c'est toute ta main qui envahissait mon vagin et dansait une folle
sara-bande qui me donnait envie de crier.

Mais tu sentais mon envie et ta main fermement posée sur mes lèvres
m'intimait l'ordre muet de me taire. Alors, je t'ai mordu la main, pour te
faire partager l'ivresse que tu me communiquais. Je crois que tu as
compris. Tu as retiré ta main et d'un geste rapide, tu as léché mon con
quelques minutes, comme pour te faire pardonner de me laisser .. dans cet
état. Je ne bougeais toujours pas, mais fermais les yeux accrochés au tiens.
Tu t'es placé dernière moi, tu m'as caressé le dos longuement, pétri les
fesses à pleines mains, cherché la douceur de la peau derrière
le genou,
massé les chevilles... Hum!!!! j'étais un petit chat ronronnant de désir.
Soudain, tu m'as mordu entre les cuisses, j'ai étouffé un cri mais déjà je
sentais la raideur de ta queue derrière mon dos "Tenez-vous droite,
Mademoiselle" semblait-elle me dire. Avec insistance, elle passait entre mes
jambes croisées, excitant tous mes orifices. Elle me disait " là, tu aimes
là? tu la veux là ou là? tu me sens ici? devant? derrière? on hésite? les
deux? Ah bon, d'accord!".

Par l'avant, tu m'a pénétré délicatement, la porte était ouverte, tu n'avais
aucune excuse... puis tu as cherché l'issue entre mes fesses. D'un seul
coup, elles se sont ouvertes et là, c'est toi qui a poussé un cri, je t'ai
entendu. Tu m'as labourée, travaillée, polie, triturée, vrillée, surinée,
plantée, tellement et tellement que j'ai dû crier de plaisir, parce qu'à ce
moment là, on m'a proposé de me détendre pour reprendre la pause ensuite.

Ah oui, oui, oui, c'était du plaisir à l'état pur avec toi, fantôme parmi
les figurants de ce drôle de cinéma X. J'ai éclaté de plaisir et toi aussi. Tu
ne pouvais plus t'arrêter et tu ahanais comme un cheval sur sa jument
verte... Dans un ultime cri, tu as joui et j'ai senti ton jus épais et
brûlant envahir ma croupe. Délivrance ultime, moment de bonheur absolu, seul
deux "accords de corps" peuvent émettre de telles émotions. Et... nous
étions là, tellement concernés, brûlants, assoiffés, haletants mais
tellement heureux.

J'ai repris la pose, personne n'a rien remarqué. J'étais entrée seule, je
suis ressortie seule, mais entre temps, j'ai atteint le ciel avec" le Fantôme
du modèle".


 

Merci beaucoup ' Praline ' pour tes jolis mots...





Jeudi 23 octobre 4 23 /10 /Oct 19:35

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