Fatigué par une dure journée de travail, sollicité de toute part, IL a pris
rendez-vous chez son coiffeur habituel, pour se «changer la tête» à défaut de se la vider…Embouteillages incontournables à cette heure-là… il va arriver en retard
, peut-être même le salon sera-t-il fermé?
Enfin, après un concert de klaxons échangés de toute part, les voies se dégagent
enfin, comme par magie. Il trouve une place devant le salon dont les lumières lui semblent fort tamisées.
«J’espère qu’il m’aura attendu» pense-t-il.
IL pénètre dans la boutique; une jolie jeune femme
qu’il ne reconnaît pas, s’avance vers lui.
«Veuillez m’excuser, je suis très en retard, j’étais coincé dans un affreux embouteillage…» bredouille-t-il…
«Désolée, répond-elle, le patron a dû partir, il m’a demandé de m’occuper de
vous, vous êtes un client fidèle, je crois…. Et moi, je suis nouvelle. Je m’appelle Irène!
Mais ne vous en faites pas, si vous n’êtes plus pressé, je vais m’occuper de
vous calmement. Vous êtes là pour vous détendre et je vais vous y aider...»
"Tenez, passez au bac, je vais vous faire un shampooing, et comme vous semblez
stressé, je vous ferai un massage du cuir chevelu, vous verrez, c’est radical, vous allez être zen comme jamais...»
Elle lui tend un long peignoir et l’assied, la tête renversée en
arrière.La chaleur de l’eau, l’odeur boisée du shampooing, la musique douce, lui font fermer les
yeux.
Irène a les mains si douces… comme promis, elle lui passe une
crème adoucissante sur les cheveux et commence un lent ballet de ses mains qu’il sent fines et sûres d’elles.
Elle appuie doucement sur le sommet du crâne, le divisant en
deux lobes distincts.
Les doigts vont et viennent, caressent, massent, palpent, effleurent, attrapent
les cheveux et les lissent, une sensation de calme et de plaisir mélangés s’instille en lui.
Sous ses paupières closes, il rêve un peu, sa tête s’éloigne de son corps, il
lui semble flotter, il pense qu’il va s’endormir bientôt.
De longs doigts glissent sur sa nuque en la massant habilement. Quel bonheur! Il
ne peut s’empêcher de lâcher un petit Hum!!! de plaisir.
Elle demande « Alors, vous vous sentez mieux, plus détendu?»
«Je suis complètement bien, j’aimerai que vos caresses ne s’arrêtent jamais, Irène; vous avez un talent inouï.»
Elle éclate de rire en entendant ces compliments et lui glisse à
l’oreille
«Dites-moi, avez-vous envie d’être … encore mieux et encore plus détendu?»
«Oh oui, Irène je vous fais entièrement confiance…» lui répond-il…
«Dans
ce cas, je vous demande de fermer les yeux, de vous laisser faire … complètement, pas de geste brusque, nous parlons de... pure sensualité...»
Un peu inquiet, il ne répond pas, mais garde les yeux clos et attend la
suite.
Elle lui pose un masque sur les paupières, celui que l'on distribue sur les vols
«longs courriers» masque de repos et de relaxation…
«Parfait» dit-elle, on ne bouge plus, on se laisse faire.
Les massages du cuir chevelu reprennent, mais il lui semble que les mains ont un
peu changé , qu’importe c’est toujours aussi agréable.
Ses mains reposent sur les accoudoirs et il
somnole…
Soudain, il sent des doigts très fins entrouvrir sa braguette. Il
sursaute…
Irène lui passe sa langue dans l’oreille et lui
intime l’ordre gracieux de se laisser aller… complètement et sans parler…
IL comprend enfin ce qui l’attend et se tait, ravi…
D’ailleurs, cette
langue chaude qui cherche ses points faibles et les trouve vite n’est pas faite pour lui déplaire; elle sent les sous-bois au printemps, le vétiver, le bois de rose et de
santal…
Elle se penche sur lui, lui introduit sa langue dans la bouche et le baiser qui
s’en suit est chaud et langoureux. Hum!!! Experte Irène
Elle le dévore un peu plus fort, s’immisce jusqu’au fond de son palais, cherche
le contact de ses dents et se glisse entre ses gencives et le bord de ses lèvres… Elle électrise
tout son épiderme, oui, elle l’excite complètement. Il lui répond sur le même tempo, harmonisant leur envie mutuelle…
Soudain, il sent qu’une main a libéré sa queue,
brandie haut et fort hors de son carcan de toile sèche…une main manucurée, douce, polie, fraîche et comme couverte de crème le maintient fermement.
Il ne peut voir, il n’a que sa peau comme indicateur de
sensations…
«Là aussi, je vous fait un massage, Monsieur mon client?» murmure-t-elle?
«Oh oui, Irène l’experte, faites de moi ce que vous voulez, mais faites-moi encore du bien, vos mains, vos mains…..»
IL ne trouve plus ses mots ou l’émotion d’une telle aventure inattendue le
submerge.
Elle l’enduit effectivement d’un liquide, une crème, une émulsion,
quoi?
IL n’en sait rien, tout ce qu’il sent c’est qu’elle le chauffe de plus en
plus…
Elle a pris son sexe dans ses deux mains et tel un bâton elle le fait tourner
rapidement autour de ses paumes.
«J’ai toujours rêvé de jouer les majorettes» lui glisse-t-elle dans le cou!
IL rit de ses audaces et elle le maintient fermement, faisant monter de plus en plus fort son désir...
Son sexe est enduit d’une sorte d’élixir qui l’excite follement.
Soudain, il le sent pénétrer dans sa bouche divine, ses lèvres maquillées d’un
rouge incarnat l’aspirent, goulûment, elle salive, l’enroule, le fume, le souffle, inspire, comme un cigare cubain dans la bouche d’une cubaine…
«Oh comme c’est bon Irène, vous êtes la Reine…de la sucette cubaine, je suis tombé sur une spécialiste de la chose et j’adore!»
Elle l’aspire de plus en plus fort, de plus en plus vite, son rythme cardiaque
bat la chamade.
«Oui, oui, c’est bon, mais vous allez me faire partir, je ne peux plus tenir à ce rythme, Irène, faites quelque chose pour moi, je suis en danger d’explosion!»
A peine a-t-il terminé sa phrase qu’il se sent partir, son foutre explose dans
la bouche charnue d’Irène qui l’aspire tel le vénéneux animal qu’il est.
IL sent les pulsations de ses jets de sperme
battre dans ses veines sur un rythme soutenu
«Tiens, tiens, tiens encore, tu en veux encore, Irène? tiens encore…».
Elle le boit, le pompe encore plus fort, il lui semble perdre conscience
tellement cette sensation lui semble puissante ou simplement oubliée?
Il jouit encore, il crie, il hurle en attrapant les longs cheveux de sa tigresse
toujours plus déchaînée que jamais.
Elle retire alors sa bouche, tenant son dard turgescent et enflé dans ses longues
mains.
IL ne tient plus et retire le masque qui lui cache ce si beau spectacle.
En la regardant droit dans les yeux, il éjacule encore sur ses mains, elle promène alors son trophée contre son ventre, ses cuisses…
Elle est habillée, mais il aperçoit des bas noirs très fins retenus par un porte-jarretelles! Tout ce qu’il
aime!
«Met-là contre tes bas, je veux jouir sur tes bas».
Elle s’exécute et lui envoie de puissants jets chauds et crémeux entre ses
cuisses resserrées et sur la tendre partie de sa peau que le bas ne couvre pas, elle lui frotte la bite contre son porte jarretelles et il envoie une salve d’adieu à sa
belle…
«Oh, Irène, je n’ai jamais joui comme ça, en tout cas, jamais dans de telles conditions, vous êtes ultra bandante et sensuelle; j’aimerai penser que tous vos clients n’ont pas droit au même
régime».
«Vous voyez, quelque fois, il vaut mieux être le dernier client, plutôt que le premier…» lui répond-elle, mutine…
Vous me plaisez beaucoup et j’avais envie de vous le… dire!
«C’est bien dit, Irène, je n’oublierai pas désormais d’arriver en retard à mes rendez-vous… chez le coiffeur»…
C'est Mademoiselle PRALINE qui a rédigé ce joli texte...
Merci Praline ... cache toi ! Je vais te croquer ....
Vos mots...