Ce soir, je posais.
Pendant une pose
longue de 3/4 d'heure sans bouger,mes
pensées vagabondaient et je pensais à toi. Je t'ai dit plein de choses
douces, dommage que je ne puisse pas m'interrompre pour les écrire, parce
que c'était beau, mais ma mémoire est volatile. J'étais nue là devant une
bonne vingtaine de personnes et je t'imaginais parmi eux. Tu me regardais :
placée de dos, avec une glace devant moi renvoyant l'image de face. J'avais
les avant-bras appuyés au dossier d'une chaise et
les jambes croisées, pour
faire ressortir la courbe de mes fesses et la cambrure de mon bassin.
Tu m'observais tellement que je sentais alors tes mains parcourir mon corps,
faisant frémir mon épiderme tendu sous la caresse. Mes seins s'agitaient
imperceptiblement sous tes coups de langue coquins et aguicheurs, les
tétons s'empourpraient en durcissant, ma nuque se courbait doucement sous
l'emprise ferme de tes mains attrapant mes cheveux, mon ventre se creusait
sous l'effet du désir que m'inspiraient tes caresses devant tout le monde,
mais moi seule le savait et le sentait.
Puis tes mains s'immisçaient d'autorité, entre mes cuisses croisées et
cherchaient
le chemin de mon désir. Sans défaire mes jambes, je te
laissais me fouiller, m'ouvrir, me pétrir et me pénétrer de tes doigts
délicieux, humide de mon envie folle de te prendre dans ma bouche. Soudain,
c'est toute ta main qui envahissait mon vagin et dansait une folle
sara-bande qui me donnait envie de crier.
Mais tu sentais mon envie et ta main fermement posée sur mes lèvres
m'intimait l'ordre muet de me taire. Alors, je t'ai mordu la main, pour te
faire partager l'ivresse que tu me communiquais. Je crois que tu as
compris. Tu as retiré ta main et d'un geste rapide, tu as léché mon con
quelques minutes, comme pour te faire pardonner de me laisser .. dans cet
état. Je ne bougeais toujours pas, mais fermais les
yeux accrochés au tiens.
Tu t'es placé dernière moi, tu m'as caressé le dos longuement, pétri les
fesses à pleines mains, cherché la douceur de la peau derrière le genou,
massé les chevilles... Hum!!!! j'étais un petit chat ronronnant de désir.
Soudain, tu m'as mordu entre les cuisses, j'ai étouffé un cri mais déjà je
sentais la raideur de ta queue derrière mon dos "Tenez-vous droite,
Mademoiselle" semblait-elle me dire. Avec insistance, elle passait entre mes
jambes croisées, excitant tous mes orifices. Elle me disait " là, tu aimes
là? tu la veux là ou là? tu me sens ici? devant? derrière? on hésite? les
deux? Ah bon, d'accord!".
Par l'avant, tu m'a pénétré délicatement, la porte était ouverte, tu n'avais
aucune excuse... puis tu as cherché l'issue entre mes fesses. D'un seul
coup, elles se sont ouvertes et là, c'est toi qui a poussé un cri, je t'ai
entendu. Tu m'as labourée, travaillée, polie, triturée, vrillée, surinée,
plantée, tellement et tellement que j'ai dû crier de plaisir, parce qu'à ce
moment là, on m'a proposé de me détendre pour reprendre la pause ensuite.
Ah oui, oui, oui, c'était du plaisir à l'état pur avec toi, fantôme parmi
les figurants de ce drôle de cinéma X. J'ai éclaté de plaisir et toi aussi. Tu
ne pouvais plus t'arrêter et tu ahanais comme un cheval sur sa jument
verte... Dans un ultime cri, tu as joui et j'ai senti ton jus épais et
brûlant envahir ma croupe. Délivrance ultime, moment de bonheur absolu, seul
deux "accords de corps" peuvent émettre de telles émotions. Et... nous
étions là, tellement concernés, brûlants, assoiffés, haletants mais
tellement heureux.
J'ai repris la pose, personne n'a rien remarqué. J'étais entrée seule, je
suis ressortie seule, mais entre temps, j'ai atteint le ciel avec" le Fantôme
du modèle".
Merci beaucoup ' Praline ' pour tes jolis
mots...
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