Voici ici, de jolis mots du Roi Arthur...
Les filles d'ici, le connaissent bien...
Et je pense qu'il mérite que je transmette son texte...
Qu'elle est belle cette femme, qui, au sortir de l'adolescence, prend soudain conscience Qu'elle est enfin devenue femme.
Qu'elle est belle cette femme, qui, pour la première fois, se pâme d'amour et d'émoi en offrant son corps de femme.
Qu'elle est belle cette femme, aujourd'hui, toute vêtue de blanc, qui s'approche en souriant amoureusement pour déclarer son ardente et indestructible flamme.
Qu'elle est belle cette femme, qui voit son ventre s'arrondir, et qui attend pleine de désir l'instant où naitra le fruit de son plaisir.
Qu'elle est belle cette femme, aujourd'hui devenue une mère, de ses enfants toujours fière, eux qui maintenant occupent toute son âme.
Qu'elle est belle cette femme, dont les cheveux blanchissent, elle qui alors que les jours inlassablement glissent, reste avant tout et pour toujours une femme.
Qu'elle est belle cette femme, qui maintenant offre à ses petits enfants la tendresse et la générosité, le partage d'instants comme autant de moments de sa vie de femme
Qu'elle est belle cette femme, qui aillant franchi le seuil de la mort, semble toujours sourire et vivre encore, au travers de son visage à jamais fermé de femme...
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Merci le Roi Arthur pour reconnaitre certaines choses que d'autres ne voient même pas!
Salutations
Missy
Cela fait plaisir...
Quel talent!
et pour te remercier et rendre hommage à ta beauté permets moi de t'offrir celui ci que tu accepteras peut être de partager avec d'autres femmes qui se révèleront sensibles à ce poème:
L’ORIFLAMME DE MES DESIRS
J’aurai aimé être un ancien roi,
Au nom illustre ou imaginaire,
M’appeler Arthur ou Richard,
Mais ma bannière aurait été différente.
De cette oriflamme monochrome et étrange,
J’aurai choisi le blanc comme unique couleur,
Certain que nul n’aurait compris ce choix
Car seul, j’aurai pu y voir les trésors cachés.
Au-delà de cette pureté, de cette blancheur,
J’aurai su percevoir toute la chaleur du cœur
Que vous, les femmes, avaient enfoui au fond du cœur,
Attendant l’étincelle qui vous fera irradier de bonheur.
Au-delà de cette blancheur immaculée,
J’aurai su voir vos corps aux formes variées,
Qu’ils soient menus ou plus généreusement pourvus,
Mais offerts et prêts à vibrer sous de douces caresses.
Au-delà de cette simple blancheur,
J’aurai pu percevoir les sublimes senteurs
De vos liqueurs intimes et délicates,
Et même en savourer le goût inimitable.
Au-delà de cette blancheur, symbole de pureté,
J’aurai même pu voir vos tétons érigés
Comme prêts à percer le frêle tissu
De cet étendard magique et inédit.
Mais moi, homme d’aujourd’hui, poète sans talent,
Je n’ai d’autre oriflamme, d’autre drapeau,
Que celui de mes délires les plus fous,
Qui me font chaque nuit rêver de vous.
voilà j'espère qu'il te plaira autant que ta beauté charme mon esprit. bises le roi arthur
Bisous
Eowin
Bizes.
Merci Sire Arthur votre texte me semble plus beau que "quand vous serez bien vieille" le sonnet pour Hélène de Ronsard...
Merci