De rouge et de noir ainsi revétue , apprivoiser le
bois,
se confondre à lui à la lueur d'un feu de cheminée
Offrir ce que l'on a de meilleur.
De rouge et de noir ainsi revétue , apprivoiser le
bois,
se confondre à lui à la lueur d'un feu de cheminée
Offrir ce que l'on a de meilleur.
Elle est là, devant moi, nue, posée au milieu de la chambre, sur la chaise qui est à coté du lit, bras le long de ses cuisses, jambes serrées... elle attend. Je perçois dans ses yeux suppliants, un doux mélange de craintes et d'envie… Dans le doute le plus absolu de ce qui va se passer.
J'ai pris soin, au préalable, d’embaumer la chambre de douces senteurs vanillées, de poser çà et là, des bougies de couleurs et de faire planer les douces notes d'une musique enchanteresse.
Je m'approche d'elle, un bandeau de satin noir dans les mains. Ce sera sa dernière vision de ce tout qui l'entoure. Tout va disparaitre dans le noir, et je sais même qu'elle fermera les yeux sous ce bandeau. Je lui pose, je fais un nœud, je serre un peu plus pour ne pas qu'il glisse à cause de ses longs cheveux soyeux.
Je la frôle, juste pour qu'elle sente mon souffle, mon parfum. Qu’elle sente que je suis là, tout près d'elle... Une longue plume blanche dans ma main, j’effleure ses joues, son cou, le haut de sa poitrine, ses épaules, je descends le long ses bras, reviens sur ses seins, je joue avec ses mains et ses doigts...
Je la sens frissonner. Puis je m'éloigne. Elle attend. Le bouchon de champagne qui explose la fait sursauter... Je reviens tout près d'elle avec la bouteille pour lui faire écouter les bulles qui glissent dans la coupe. Je la fait boire. De ses lèvres, s’échappe une goutte qui perle le long de son menton .Avec ma langue, je viens l'arrêter dans sa course... Elle est surprise de ce contact.
Elle est dans l'attente d'un 'je ne sais quoi’ qu’elle ne connait pas.
De ce doute certain je sens monter son excitation.
Je la fait se lever pour l'entrainer sur le lit qui nous tend bras et lui impose de s'allonger sur le ventre .Sans bouger, je ne veux pas voir un mouvement de sa part. Non, pas un seul, lui dis je.
Sur cette musique douce mais rythmée je commence à lui donner de petits coups délicats de cravache. Ses fesses rebondissent, se relèvent, penchent légèrement de droite à gauche, je continue, cela lui plait et m'excite aussi. Je lui demande si cela lui convient ainsi. Elle veut encore, plus vite, plus fort.
'Pas de problèmes, tu vas en avoir!'
Je continue donc un peu plus comme elle me le demande en restant dans l'observation de la couleur de sa peau qui commence à rosir délicatement. Puis la musique se tait, la cravache aussi. Je viens voir de ma langue l'effet qu'a produit cette petite mise en forme de ses fesses. Des perles de pluies commencent à suinter.
"Retournes toi maintenant, poses toi sur le dos et écartes tes jambes lui ordonnais je!" d'un ton sec et précis
Me voici donc, une corde à la main, m’approchant d'elle et je lui attache une cheville gauche au pied du lit. Trois petits tours élégants, un nœud savant, la corde se marie au pied du lit blanc.
Je réalise la même chose à sa deuxième cheville. je l'entend pousser de petits cris discrets de plaisir et d'envies. Elle doit se taire pour l'instant, nous ne sommes que dans la préparation, juste dans le début, le reste va venir, lui dis-je!
Je prends ses poignés et je les attache à la tête du lit.
Ainsi écartelée, la voici toute mienne, je vais pouvoir disposer d'elle et faire de son corps soumis ma délicieuse chose. Je vais lui donner ce plaisir qu'elle désire tant qu'elle m'a demandé, supplié de lui donner.
Son sexe est mouillé, je la félicite telle une petite chienne qui le mérite bien. Si j'étais un homme. Mon sexe se dresserait jusqu'au plafond tellement elle est... bandante!
Et je sens déjà ma cyprine couler le long de mes cuisses. Telle une femme que je suis.
Je bois une gorgée...de champagne.
Je lèche ma petite Cochonne, l'essuie avec ma langue, la mouille de ma salive, lui cherche son clitoris et le titille. Elle gémit de plaisir, tente de me donner un peu plus de son intimité mais elle ne peut bouger. Et je me fais plus précise, j'entre mes phalanges dans son sexe dégoulinant et lui lèche son petit trou en même temps. Je me suis posée sur elle, à l'envers pour mieux pouvoir la posséder. Je l'écrase même presque... Je dispose ainsi entièrement de son corps, ses jambes écartées me ravissent.
Mes doigts peuvent passer de partout, se promener et découvrir chaque parcelle d'elle. Je la fouille, je la fouine de partout, entre mes doigts dans sa fente et son petit rond rose, ensemble, et décide d'un mouvement lent, je la mouille de ma salive pour mieux sentir glisser en elle mes habiles vas et vient.
Elle se tord de plaisir, gémit, halète .Ronronne de plaisir. Sa respiration devient rapide, je sens en elle monter l'excitation extrême de se sentir possédée ainsi, dépossédée aussi...
"Tu n'as pas le droit de jouir !"
"C'est moi qui te dit à quel moment "
"Oui ! me répond elle, j’attends que vous me disiez..."
Comme récompense, je viens l'embrasser à pleine bouche, ma langue virevolte avec la sienne.
"Tout d'abord tu vas me lécher, je vais poser ma chatte sur ton visage et tu ne t'arrêteras pas jusqu'à ce que je jouisse c'est bien entendu, ma petite lécheuse?
"Oui, tout ce que vous voulez...."
Je bois une coupe de champagne qui me rafraichit, j'ai chaud .Je garde ce breuvage dans ma bouche et lui fait passer dans la sienne. Lui offre un nouveau baiser pour clore ce don pétillant...
Les yeux bandés et toujours attachée au lit, ma petite lécheuse se met donc à exécution et me rend ce que je lui ai donné auparavant.
C'est vraiment une très bonne petite lécheuse en effet, me dis-je! Je me délecte de sa langue et bouge au dessus d'elle, collée à ses lèvres chaudes, me frotte, et fais glisser mon sexe et mon anus à tour de rôle sur sa bouche en m'écartant plus encore..Et cela dure, je vois qu'elle met du cœur à l'ouvrage et je l'encourage. De sa langue coquine elle attrape mon clitoris et l'aspire. Cela continue encore et encore jusqu'à ce que je vienne faire couler le fruit de ma jouissance dans sa bouche. Elle se réjouit de ce petit jus transparent qui coule sur ses lèvres.
"Avales tout et je veux que tu me lèche jusqu'à la lie... qu'il ne reste plus rien!"
"C'est parfait, lui dis-je, tu vas devenir Ma préférée "
Pour la récompenser ...un petit moment de fouettage savant et délicat histoire de laisser le corps chaud, qu'il ne s'endorme pas et pour lui faire plaisir...sur ces cuisses, son ventre, ses hanches, ses seins et ses bras.
Puis, je saisis Silvergod, sous l'oreiller, Oh tendre ami fidèle, complice de mes nuits solitaires!
Je le fait se réveiller, un petit ronronnement discret envahit la chambre.
Je le promène sur son ventre. Elle frissonne, écarte un peu plus ses jambes, elle a compris ce que je vais lui offrir. Je m'attarde sur son ventre, ses cuisses, son entre jambes, insiste sur son bouton rose, je viens la lécher à nouveau et vérifie par là même, sa furieuse envie d'être pénétrée par cette chose que je lui donne à réchauffer dans sa bouche. Elle s'exécute goulument à cet acte d'ailleurs!
Je la complimente. Puis je la pénètre, cela glisse tout seul, j'assemble va et vient avec ma langue qui lui titille son petit clito tout tendu et dressé pour mieux recevoir cette frénésie de mouvements précis. Je décide que maintenant est le moment.
Je lui donne donc la permission de jouir, et cette phrase à peine finie, je sens déjà les sursauts de son corps arriver, ses gémissements envahir la chambre...
Elle jouit de tout son corps de toute son âme ; ainsi apaisée elle se confond au lit sans aucuns mouvements comme délivrée enfin. Anéantie. Je me déplace et l'embrasse tendrement, récompense suprême de cette belle jouissance salvatrice.
Maintenant, je vais lui enlever ses liens, la laisser me regarder, consciente qu'a partir de cet instant nous sommes entièrement liées... Toutes deux. Nous allons boire un thé, bien sucré avec un nuage de lait ... Et nous rirons ensemble de ce merveilleux moment passé à deux et nous promettrons de nous revoir ...pour aller plus loin dans ce jeu qui n'est en réalité qu'un ...doux jeu.
Au revoir, Maélle...
Sobre escalera
Sobre el sillon
Bajo el sombrero,
gozados...
Petite jupette
transparente,
En blanc...
Tout simplement...
Et vous...juste devant
Je vous attends...
Elle a dans ses yeux cette flamme qui fait qu'au fond d'elle, elle est encore
vivante.
Pourtant ses yeux là, sont enfouis dans un chemin de rides profondes, entourés de
paupières lourdes qui dessinent le poids d'une vie passée.
Elle a les cheveux de la couleur de son oreiller
d'hopital...
Il y a longtemps qu'elle a vu le
jour, très longtemps. Combien de gens ont deja disparus autour d'elle...
Combien d'histoires
d'amour a t elle vécues?
Marguerite...
Cette jolie jeune femme de 19 ans, pétillante, qui donnait envie à tous les hommes du village...Blonde pulpeuse qui a fait chavirer les coeurs et provoqué tant de heurs...Elle ne vivait que pour le plaisir, sachant le débusquer là ou il se trouvait.
Marguerite... elle se rappelle...
Du temps de la guerre. Elle se souvient de ce beau militaire revenu le temps d'une si belle journée ensoleillée.
Toute de fleurs vétue, petites socquettes blanches, elle l'avait rejoint à vélo, en secret, dans un champs, là bas, tout en haut. Les cloches de l'église chantaient... Les foins venaient d'être coupés et une odeur d'acte d'amour obligé s'en dégageait... Endroit propice à toute folie de deux corps en éveil de sensations méconnues.
Deux jeunesses pleines de fougue et de
découverte...
Comme elle l'a aimé, son Georges cet après midi là...
Elle s'est donné à lui , sur ce tapis d'herbes grillées par le soleil d'été, robe retroussée, il lui a fait découvrir le vrai bonheur, donné des caresses, embrassée, léchée à en mourir de plaisir. Il l'a fait vibrer de toutes ses cordes de femme. Elle pouvait, en ce temps là, lever ses jambes, se retouner, s'empaler sur lui, être à quatre pattes devant lui, relever ses fesses au plus haut pour lui donner l'offrande sublime de sa plus profonde intimité...Tenir debout, droite, lui derriere elle... Courir dans ce champs pour ne pas qu'il la rattrappe... Crier a tue tête...
Et rire à gorge déployée... Insouciante, folle ...
Marguerite en frémit encore...
Elle a su ce qu'était un homme, découvert ce que son corps pouvait recevoir,connu cette passion sauvage et brûlante qui habite le ventre d'une femme. Elle s'est offert ce pécher! Elle a eu l'eau bénite qui a coulé entre ses cuisses. Elle a eu envie de jouir avec lui encore et encore... A n'en plus finir. Et en entier, elle lui a donné son corps...
Elle a succombé. Oui, elle l'a tant aimé ce jour là, son Georges...
Elle arrivait à faire cela , oui, à tel point qu'elle se demande si c'est ce même corps qui tente de la soutenir aujourd'hui ? A ce jour elle trébuche sur ses pensées... Appuyée sur la canne des ses folies passées...
Puis Georges est partit et jamais revenu... disparu comme le flots de ses illusions perdues.
Marguerite...c'était une très belle femme... C'était...
Aujourd'hui elle a 96 ans , et elle se souvient.
Elle a le corps et les mains vides mais au bout de ce néant, il y a ses souvenirs... nombreux et toujours présents...
Nous serons un jour à sa place , là, seuls et abandonnés alors que nous avons eu tant de conquètes et de succès. Et sur le fauteuil rapé de nos pensées, nos réverons à nos aventures passées, en attendant qu'un jour , tout de même, quelqu'un veuille bien écouter...
Mais nous n'avons que faire de leurs récits longs et ennuyeux car ils 'radotent ' : Les Ptit's Vieux , comme nous disons ! Eh oui...
Mais, un matin d'automne, on a voulu me raconter... et je me suis assise...
Douce, belle Marguerite de printemps...
Trop de saisons sont passées, car si on lui demande son age... elle ne sait
plus...
Un jour, ce sera vous, ce sera moi... qui tenterons de raconter à quelqu'un qui n'a
pas envie d'écouter...
La beauté et la jeunesse sont éphémères, tout passe et tous se lassent... un jour ou l'autre.
Titia.
image du
net...
RECETTE DU BAISER
Pour réussir ce plat' , il faut tout d'abord ,
Sortir son coeur du frigidaire;
Déglacer ses craintes
Egoutter ses larmes
Réchauffer son corps ;
Préparer ses mains;
Malaxer son envie
Pétrir son désir ;
Mélanger la passion
Piquer au vif
Saisir le moment
Offrir le bouquet
et ...
Ajouter un doigt de tendresse
Plonger le tout
Laisser mijotter
Savourer ... à deux
Devant un verre de lé...
1- Sur la poutre, on te posera,
2- ton corps, on enchaînera,
3- tes jambes... tu releveras,
4- tes orteils, tu tendras,
5- ... plus fou: même ton cou et aussi tes
bras,
6- ta poitrine, tu gonfleras,
et 7- tes mamelons pointeront,
sous la froideur de cette chaîne...
...' Oui, j'aime!'
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